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Hamilton et Vettel : les 2 pilotes F1 les plus convoités

21 janvier 2015 - Auto moto
Hamilton et Vettel : les 2 pilotes F1 les plus convoités

Ce ne sont pas n’importe qui. Hamilton est double champion du monde, et tenant du titre d’ailleurs. Vettel est quadruple champion du monde.

Ils sont tous deux très convoités. La différence, c’est que pour Hamilton, beaucoup trop d’intox circulent. Dans le cas de Vettel, il est clair qu’il a quitté Red Bull pour voler à la rescousse de Ferrari.

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Mercedes veut à tout prix que Lewis Hamilton reste

Le contrat de Lewis Hamilton expire à la fin de l’année 2015. Or, les décideurs de l’écurie allemande croient à juste titre en la capacité du pilote britannique. Jusque-là dans l’ombre de Sebastian Vettel, Hamilton a brillé en 2014 en remportant le championnat.

Mais c’est la seule chose qui soit parfaitement claire. Après, dans les magazines et les réseaux sociaux, on annonce que l’écurie allemande serait prête à débourser un salaire fixe de 20 millions d’euros par saison.

Des bonus seraient prévus dans le prochain contrat du pilote britannique. Le montant serait de 1 million d’euros pour chaque victoire. Ce bonus serait majoré à 5 millions d’euros en cas de sacre mondial. Si tant est que ce bonus soit réellement prévu.

Car des voix dissidentes résonnent déjà au sein de l’écurie allemande. Certains envisageraient qu’en cas de surenchère d’Hamilton, il vaudrait mieux opter pour Fernando Alonso.

Vettel a « l’expérience de la victoire »

En tout cas, Ferrari ne cache pas le fait que son attente est grande vis-à-vis de Sebastian Vettel. L’écurie italienne lâche Alonso pour s’offrir le talent du quadruple champion du monde allemand.

Ferrari ne fait pas les choses à moitié, car son équipe comprendra également Kimi Raikkonen. Un Raikkonen capricieux par nature et un Vettel loué comme un messie, c’est à l’image d’un Real Madrid accroupi aux pieds de CR7 et qui a misé 100 millions d’euros pour Gareth Bale.

Vettel est accueilli comme une haute personnalité au siège de l’écurie italienne. On lui fait visiter tous les départements et tout le personnel avec qui il va travailler. Quant à Raikkonen, Ferrari cède en ne plus exigeant que le pilote s’adapte à la voiture, mais plutôt l’inverse.

Quelle que soit l’écurie avec laquelle Hamilton courra en 2016, on peut déjà pressentir qu’il donnera du fil à retordre à Sebastian Vettel. Toutefois, Ferrari n’a pas tort en parlant d’expérience de la victoire. Vettel n’est pas devenu champion du monde à 23 ans pour rien. Ce n’est pas non plus donné à tout le monde de remporter quatre championnats successifs.